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Intensification de la guerre psychologique contre les opposants à la dictature sanitaire

INTENSIFICATION DE LA GUERRE PSYCHOLOGIQUE CONTRE LES OPPOSANTS A LA DICTATURE SANITAIRE

Il a fallu un virus invisible à l’œil nu, mesurant moins de 0,3 micromètre pour révéler au grand jour la nature du système politique et économique que les mass médias et leurs experts attitrés appellent démocratie, mot répété à satiété à longueur de journée faisant croire à l’existence d’un régime réellement démocratique dès lors qu’un morceau de papier mis dans les urnes à intervalle olympique.

Depuis l’apparition du virus à la fin de l’année 2019, les stratégies mises en œuvre par les « démocraties » consistaient à confiner les populations et mis au ralenti de l’économie fondée sur la production des biens et des services dans le seul et unique but, le profit et au délà l’accumulation. Autrement dit, les biens et services sont produits uniquement pour la demandé solvable et cette économie que l’on appelle capitalisme, terme tabou que personne n’ose prononcer, abhorre et méprise tout ce qui est gratuit.

L’avènement du virus a lourdement perturbé les processus de production de profit et les gouvernements, comme pour la crise financière de 2008, se sont mis à quatre pattes pour venir au secours du capital et des détenteurs des moyens de production, en distribuant des milliards par des aides, des subventions et diverses exonérations de charges fiscales et sociales

face aux restrictions à répétition suite à la propagation du virus et l’apparition du variant delta, le capital et détenteurs des moyens de production ont intimé l’ordre au gouvernement de ne plus « fermer l’économie » en procédant à la vaccination des populations, présentée comme la panacée universelle et les responsables de la politique sanitaire ont exercé de fortes pressions sur les fabricants des vaccins pour fournir à la va vite un vaccin. Les Pfizer, les Moderna, les Johnson & Johnson n’en espéraient pas plus, car la production d’un vaccin resté au stade expérimental, sera une occasion en or pour engranger des profits juteux

c’est dans ce contexte que le gouvernement français a mis en place le « pass sanitaire », une formule vague, un euphémisme pour ne pas dire vaccination obligatoire. Mais la résistance n’a pas tardé à se manifester à cette « dictature sanitaire » par des manifestations de plus 6 semaines rassemblant des centaines de milliers voire des millions de protestataires.

Pou venir à bout de cette résistance, comme à l’époque des gilets jaunes, le pouvoir aidé par des médias de propagande aux ordres déclenche une guerre psychologique contre les anti pass et anti vaxx, qui jour après jour, va en s‘intensifiant. Pour mener cette guerre psychologique, des médecins et des soi disant experts rompus à l’art de la propagande et de surcroît stipendiés ont été mobilisés dans les médias de propagande pour pousser les récalcitrants à servir de cobayes, ce qui représente un changement radical par rapport aux précédents vaccins dont les essais cliques étaient pratiqués sur rats et souris alors que les essais cliniques des vaccins actuels sont pratiqués directement sur des humains.

Les formes mises en œuvre par les stratèges de la guerre psychologiques contre les anti pass et anti vaccin sont multiformes. Outre les médias de propagande qui martèlent à longueur de journée, 24/24 et 7/7 incitant les hésitants et les récalcitras à se servir de cobayes, le pouvoir à déployé une campagne émotionnelle, jouant sur les affects et les bas instincts des individus, par l’affichage sur l’ensemble du territoire, avec l’argent du contribuable, des slogans associant vaccination et la « liberté retrouvée » Des spots publicitaires passant en boucle dans les médias de propagande publics et privés créant une association d’idées et un réflexe pavlovien entre vaccination, sociabilité, bars, restaurants etc Un signe qui ne trompe pas de l’intensification de la guerre psychologique initiée par la macronie, les sondages faisant croire que les partisans de la vaccination sont majoritaires alors qu’il ne s’agit au fond qu’une opération de manipulation comme lors de chaque période précédant l’élection présidentielle, car les 2/3 des vaccinés ont été forcés à la vaccination soit pour garder leur travail soit pour aller dans les lieux de loisirs des masses. Il convient de le répéter d’abord que les sondages sont un des outils de la propagande officielle visant à la manipulation du psychisme de certains groupes cibles et non pour refléter l’« état de l’opinion à un instant t », et ensuite, les sociétés chargées de sonder appartiennent à des groupes privés et financiers bénéficiant des largesses du pouvoir.

Mots clés : COVID, guerre psychologique,sondages,propagande, vaccin

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L’épidémie du coronavirus face à la logique implacable de la loi du profit

L’ÉPIDÉMIE DU CORONAVIRUS FACE A LA LOGIQUE IMPLACABLE DE LA LOI DU PROFIT

Les premiers cas du coronavirus font leur apparition en Chine, à Wuhan dans la province du Hubei au mois de décembre 2019. Du fait de son carcatère contagieux, le coronavirus connu aujourd’hui sous le nom de COVID-19 se répand comme une trainée de poudre infectant 2,1 millions de personnes et entraînant plus de 140 000 morts. La France comptabilise plus de 108 000 contaminations et plus de 17 900 décès.

Des sources officielles, non vérifiées, données par les gouvernements et les instances sanitaires qui en dépendent, on assiste à une baisse du nombre d’admis à la réanimation et celui de morts. Si les chiffres communiqués par les médias de propagande donnent une idée approximative de l’évolution de l’épidémie du coronavirus, ils ne nous disent rien sur les raisons de cette baisse. Celle-ci est-elle due à un certain reflux de l’épidémie atteignant son « pic » ou est-elle due aux mesures de confinement imposées aux populations depuis le 17 mars dernier ?

Inspirés par les principes du capitalisme sauvage, élaborés par les Friederick von Hayek et les Milton Friedmann, qui ne jurent que par la loi sacro sainte du marché, les gouvernements actuels en Europe et en Amérique du Nord, de droite comme de gauche, ont procédé à des privatisations des principaux services publics, au démantèlement des acquis sociaux arrachés de haute depuis le XIX ème siècle et ont appliqué des politiques austéritaires dont l’éducation et la santé ont fait les frais. Le système de santé a été la première victime des politiques austéritaires et archéo libérales et le personnel des hôpitaux publics n’ont pas attendu le coronavirus pour tirer la sonnette d’alarme. Les naïfs et les simplistes pendent que la macronie et le représentant du « business mondialisé » ont décrété des mesures de confinement, par souci de la santé des Français. En réalité, les mesures de confinement ont été prises à contre cœur, non pas pour protéger les populations contre la contamination par le coronavirus mais pour désengorger les hôpitaux publics comparables à ceux d’un pays sous développé selon l’expression d’un médecin urgentiste Après quatre semaines de ralentissement de l’exploitation quotidienne de la force de travail des millions de salariés, le capital et le gouvernement qui sert ses intérêts en bon père de famille, sont à bout ; ils n’en peuvent plus. Il faut absolument et le plus vite possible envoyer ces millions de travailleurs au casse-pipe et à leur lieu d’exploitation, au détriment de leur santé pour recommencer à générer de la plus-value et du profit, peu importe qu’ils soient contaminés par le coronavirus. En effet, l’épidémie du coronavirus a montré d’une façon lumineuse la vraie nature d’un système qui produit non pas pour satisfaire des besoins vitaux mais pour la demande solvable et pour le profit. La santé des hommes est le cadet des soucis du capital, des capitalistes et des gouvernements qui sont là non pas pour le soi disant intérêt général mais pour celui d’une archi minorité qui a fait main basse sur les richesses produites par des générations de travailleurs et grâce auxquelles elle met au pouvoir les politicards dévoués à la protection de ses intérêts grâce à cette mascarade d’élections organisés à intervalles olympiques où ce sont toujours les mêmes qui sont aux commandes depuis deux siècle

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