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BINARY VISION : WESTERN DEMOCRACY VERSUS AUTHORITARIAN CHINA ? (Part I)

President Biden will convene a mix of established democracies and “emerging” ones to summit for Democracy that will take place December 9 and 10. Biden had promised such an event early in his presidency as an answer to Trump and what he and other Democrats see as his predecessor’s undermining of democratic values and American leadership. The two-day gathering of world leaders, human rights groups and others will take place just short of the first anniversary of the Jan. 6 attack on the U.S. Capitol by a pro-Trump mob seeking to overturn Biden’s election victory and install Trump for a second term. Putin will be invited to the summit but it is not clear whether Biden will include other leaders such as Turkish President Recep Tayyip Erdogan or Hungary’s Viktor Orban.

Biden’s summit for democracy against Trump’s coup

Both summits will bring together heads of state, civil society, philanthropy, and the private sector to “speak honestly about the challenges facing democracy so as to collectively strengthen the foundation for democratic renewal. On his European trip, which was capped by a summit with Putin, Biden said he wanted to prove that democracies can deliver better results for their people than autocracies, despite the sometimes slow and messy process of reaching compromise.

CHINA’S « AUTHORITARIANISM » IN THE CORSSHAIRS OF THE SUMMIT FOR DEMOCRACY

The Summit for Democracy will galvanize commitments and initiatives across three principal themes: defending against authoritarianism, fighting corruption, and promoting respect for human rights. The event is likely to be framed in large part as an attempt to unify democratic governments in opposition to China and its efforts to spread its economic, political and military influence. Biden focused much of his first foreign trip as president on a push to confront China. Meeting with the leaders of Group of Seven democracies and with members of the European Union and NATO in June, Biden sought to rally those alliances to confront Beijing. China is also mentioned specifically in Biden’s original campaign document pledging to hold the summit, in particular Beijing’s efforts to restrict free speech through control of technology and social media. Technology companies — which benefit from the fruits of democracy — should make concrete pledges for how they can ensure their algorithms and platforms are not empowering the surveillance state, facilitating repression in China and elsewhere,” Biden urged on his campaign website.

The event was initially envisioned as a marquee gathering, probably in Washington, where democratically elected leaders would symbolically stand together in defense of free elections, free speech and other shared values. Biden has often described his view of foreign affairs as a battle for the future between the world’s true democracies and authoritarian regimes.

When authoritarian regimes point out our imperfections, I think that misses the point, because we’re not claiming perfection,” the official said. “The summit is not about perfection. What we’re saying is, we don’t shrink from scrutiny. We are always trying to use our system to improve ourselves, and because of that, I think it gives democracy a kind of powerful resilience that other systems don’t have.”

US and China’s flags

To be continued

PART II Why should be rejeted the binary vision of democratic West and authoritarian China ?

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LE MARKETING POLITIQUE LANCE UN NOUVEAU PRODUIT SUR LE MARCHE QUI LAVE PLUS BLANC QUE LA LEPENIE:LA ZEMMOURIE

MASCARADE ELECTORALISTE 2022

LE MARKETING POLITIQUE LANCE SUR LE MARCHE UN NOUVEAU PRODUIT QUI LAVE PLUS BLANC QUE LA LEPENIE LA ZEMMOURIE

Le publicitaire austro américain Edward Bernays, le neveu de Freud, est considéré comme le théoricien du marketing politique exposé dans un livre publié en 1928, Propaganda, ave un souci titre comment manipuler l’opinion dans une démocratie » .Contrairement aux idées largement répandues, la démocratie n’est pas fondée sur le libre choix des électeurs mais sur la manipulation de l’opinion pour voter pour celui créé de toute pièce par la publicité et le marketing politique. C’est une véritable remise en cause du libre arbitre que s’attelle Bernays, voyant dans l’usage de la propagande le seul moteur d’une histoire dénuée de toute volonté individuelle. « Dans maints domaines de la vie quotidienne où nous croyons disposer de notre libre arbitre, écrit-il ainsi, nous obéissons à des dictateurs redoutables » Bernays lui même avait été infleuncé par l’école béhavioriste américain mais c’est surtout l’école du physiologiste russe Ivan Pavlov qui, en mettant en évidence la possibilité de manipuler le cerveau humain et animal, a élaboré la théorie des réflexes conditionnés utilisés comme base théorique pour la propagande politique moderne.

Comme si nous le savions pas ce qui se prépare et se trame dans les coulisses du pouvoir et des médias de propagande qui ont créé de toute pièce, seulement en quelques mois leur pantin qui occupe aujourd’hui le palais de l’Élysée, qu’ils comptent reconduire grâce à la mascarade électoraliste de 2022 pour les cinq prochaines années pour « finir le job », c’est-à-dire finir le démantèlement de tous les acquis sociaux arrachés de haute lutte par la classe ouvrière française depuis la révolte des canuts lyonnais en 1831.

Comme si nous ignorions les différentes stratégies mises en ouvre par les médias de propagande, publics et privés, pour fabriquer à l’identique leurs deux candidats préférés et refaire le match de 2017 en acculant les naïfs et simplistes électeurs français à choisir entre la peste et le choléra en 2022.

Comme si nous ne l’avions pas remarqué comment les médias de propagande sont en train de fabriquer à la commande les Hidalgo, les Jadot, les Montebourg et bien d’autres pour éparpiller les voix à gauche pour permettre à leurs deux pantins favoris, Macron et Le Pen d’être au second tour e refaire le match de 2017.

Comme si nous étions naïfs et simplistes pour ne pas piger que les médias de propagande sortent la grosse artillerie le pantins qu’ils préfèrent occuper le devant de la scène et envoyer aux oubliettes et faire disparaître de la scène médiatique, les candidats « radicaux », « clivants », les « islamo-gauchistes », les « ennemis de la démocratie », les « complotistes ».

Comme si nous étions naïfs et simplistes au point de ne pas deviner que la dictature européenne et les quelques tyranneaux qui la perpétuent ne toléreront plus jamais l’arrivée d’un éventuel Mitetrand, d’un véritable parti de gauche, excepté la gauche Canada dry, gauche caviar et social démocratie à l’allemande, de gagner des élections et à fortiori d’accéder au pouvoir, instruits par quelques expériences passées, Sypras en Grèce, Podemos en Espagne, Corbyn en Grande Bretagne.

Comme si nous n’étions pas au fait des techniques de publicité commerciale et de réclame mises en œuvre par les médias de propagande qui, à force de répéter les mêmes mots et faire défiler les mêmes images 24H24, 7/7 finissent par créer des réflexes conditionnés de type pavlovien chez leurs récepteurs acculés à choisir leurs pantins candidats, produits pour le besoin de la cause, appelés à faire de la figuration lors de chaque kermesse électorale.

Comme si nous ne l’avions pas remarqué le recours des médias de propagande aux mêmes techniques de publicité commerciale et de réclame qui ont réussi la prouesse de créer de toute pièce, seulement en quelques mois en 2016-17 un obscur courtier de chez Rothschild, et qui sont en train de réaliser la même prouesse avec un obscur journaliste employé par le Figaro, Eric Zemmour, le clone de Le Pen, devenus aujourd’hui Les Ferdinand et Isabelle la catholique, qui, candidats à la mascarade électoraliste de 2022, ont promis de reprendre le flambeau de la Croisade et les campagnes des croisés pour chasser les infidèles,les Sarrasins et rendre à la France sa virginité en tant que soi disant nation catholique, fille de l’Église catholique.

Comme si nous étions ignorants du fait que la Lepenie d’un simple groupuscule avant Mitterand devenu aujourd’hui un vulgaire parti politique parvenu au second tour en 2002,et aujourd’hui la Zemourrie en cours de fabrication par la publicité politique, sont des symptômes pathologiques d’un système qui s’appelle le fascisme du XXIème siècle, allié objectif d’un capitalisme décadent et d’une classe dominante qui ne doit sa survie qu’à jouer sur la peur, la stigmatisation et la haine des autres, et semer la zizanie en remplaçant le nez crochu de jadis par les cheveux crépus d’aujourd’hui.

Mots clés : propagande, manipulation, élection présidentielle, Zemmour, Le Pen, marketing politique, démocratie, dictature

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HOW US,UK AND EUROPEAN UNION TRIGGERED REGIME CHANGE IN BELARUS

The recent Kidnapping by Belarus of the Neo Nazi Toman Protasevith catapulted back to the top of the mainstream news the at-times fiery protests that raged across Belarus throughout 2020. Similar to previous color revolution for regime change, western propaganda created leader and Belarus was not the exception with the creation of a stooge of the west in the person of Svetlana Tikhanovskaya recognized by Western leaders as the legitimate Belarusian leader.

Western propaganda has deigned to mention that for many years prior to the unrest’s eruption, London and Washington had funded, trained, and promoted the very elements that took to the streets in opposition to President Alexander Lukashenko. Belarusian opposition movement promoted the killing of Belarusian President Alexander Lukashenko in a similar way to Muammar Qaddafi of Libya.

RAND, US think tank published report with a dedicated section of the 354-page report dealt with “promoting regime change in Belarus.” with the objective to undermine Moscow’s proposed Eurasian Economic Union, complicating “any attempt to employ military force against the Baltic States,” and further isolating Kaliningrad,” the Russian exclave situated between Lithuania and Poland.Furthermore, there was little tangible public appetite for democratization. RAND cited a 2015 survey conducted by the Independent Institute for Socio-Economic and Political Research, which found that 78% of Belarusians believed regime change was “not worth people’s blood” and 70% “did not want a Ukrainian-style revolution.”“People don’t want more freedom. They want more government. They want the better life they used to have,” a Belarusian expert quoted in the report said in 2017.

Trigering unrest in Belarus aiming at removing a long-standing Russian-allied dictator “could come in a variety of forms, ranging from public declarations of support by U.S. leaders to more direct financial and organizational assistance helping the opposition parties.”

Promoting liberalization in Belarus was predicted to require European support, and given the bloc faced “a host of other challenges from Ukraine to refugees to Brexit,” Brussels [European Union] “might not want to add Belarus to the mix” and “rock the boat.”

Still, there was perceived value to attempting to precipitate regime change even if the effort ultimately failed as such a campaign would “create apprehensions among Russian leaders,” making them “worry about the prospect of such a movement in their own country.” This would in turn prompt Moscow to reinforce its military presence and political influence within Belarus, burdening Russia with a “weak, corrupt dependency” and possibly even generating “some degree of local resistance,” the report approvingly suggested.

Prior to this section of RAND’s report, U.S. policymakers subsequently is somewhat moot, given Washington had been engaged in precisely the destabilization efforts proposed therein, by way of the National Endowment for Democracy (NED). Founded in November 1983, then-U.S. Central Intelligence Agency (CIA) Director William Casey was central to its creation. He sought to construct a public mechanism to support groups and individuals overseas to engage in propaganda and political action undermining “enemy” governments from within—activities historically organized and paid for clandestinely by the Agency—under the bogus aegis of democracy and human rights promotion. For example, during the Reagan administration’s brutal secret war against Nicaragua’s progressive Sandinista government during the 1980s, in which tens of thousands died, NED allocated millions of dollars to “civic opposition” entities—including La Prensa, the country’s primary anti-Sandinista newspaper. The CIA trained, funded, and armed the Sandinistas’ fascist opponents, the Contras. In particular, the Agency’s “Tayacan” manual on guerrilla warfare was highly influential, leading the group to incite mob violence, “neutralize” government officials and civilian leaders, and attack “soft targets” such as schools and hospitals, among other hideous atrocities. The NED funded at least 159 civil society initiatives in Belarus, costing $7,690,689, from 2016 to 2020 alone aiming at promoting

Publicly available data indicates the NED funded at least 159 civil society initiatives in Belarus, costing $7,690,689, from 2016 to 2020 alone, coordinated with the Warsaw-based Belsat TV station promoting anti Lukashenko propaganda were behind the unrest aiming at regime change in Belarus. According to  investigative journalist Robert Parry  after the March 2014 Maidan coup, the NED bankrolled 65 projects in Ukraine in the years prior to that uprising.

In September 1991, The Washington Post published an article on the subject of “spyless coups” abroad, in which it referred to the NED as the “sugar daddy of overt operations,” and noted that throughout the late 1980s, it had “dispensed money to anti-communist forces behind the Iron Curtain.”

“Covert funding for these groups would have been the kiss of death, if discovered. Overt funding, it would seem, has been a kiss of life,” the newspaper concluded.

NED funding has very clearly been a “kiss of life” to a large number of oft-dubious opposition actors within and without Belarus, in turn unleashing all manner of chaos—and what’s more, its “sugar daddy” status is now being challenged by a number of other spectral, malign Western actors.

U.S. meddling in Belarus dates much further back than 2016. Five years earlier, an official White House press release on U.S.-Polish “efforts to advance democracy worldwide” had a dedicated section on the pair’s work to “pressure” the Lukashenko government and “support civil society,” which stated the Broadcasting Board of Governors (BBG) would work with the Warsaw-based Belsat TV station “to develop content and programming on democracy education.”

Founded in December 2007 by the Polish Ministry of Foreign Affairs, Belsat dubs itself “reminiscent of” U.S. propaganda outlets Radio Free Europe and Voice of America—assets of BBG [now U.S. Agency for Global Media]—describes its mission as “promoting democratization processes” in Minsk, and boasts that events in Ukraine “have shown Belsat TV has influenced the public opinion not only in Belarus, but elsewhere in the region, too.”

On an official visit to Warsaw in late 2017, then-UK Prime Minister Theresa May allocated £5 million of UK funding to Polish organizations to “detect and counter the spread of Russian information operations,” with some of the money specifically earmarked for Belsat. UK Foreign, Commonwealth & Development Office (FCDO) files leaked by hacktivist collective Anonymous shed some light on the support provided by London to the station via Thomson Reuters Foundation (TRF), the internationally renowned newswire’s charitable arm.

In all, Belsat received 150 days of intensive consultancy in a three-month period—“of which 97 were delivered in-country”—from consultants, interpreters, and project and finance managers, among them Reuters staff. If TRF sought to greatly ramp up Belsat’s propaganda capabilities, then its counsel was certainly successful. TRF’s guidance was informed by the findings of an extensive “target audience analysis” of Belarusian citizens’ perceptions and motivations conducted in January 2017, which sought to “identify opportunities” to “appropriately communicate” with them. The study was commissioned by the FCDO in January 2017, under the auspices of a £100 million Whitehall effort to weaken Russia’s influence in its “near abroad.”  In particular, London was interested in Belarusians’ “existing or potential grievances against their national government” that could be leveraged, and “channels and messages” through which the UK government could “appropriately engage with different sub-groups.”

The FCDO’s “target audience analysis” was carried out by long-time Whitehall contractor Albany Associates, central to a number of London’s covert information warfare operations aimed at Russia.

In one such connivance, the firm sought to “develop greater affinity” among the region’s Russian-speaking minority for the UK, European Union, and NATO. In another, it collaborated with French NGO IREX Europe to “promote media plurality, balance and literacy in Central Asia.”

In its submissions to the FCDO, Albany noted IREX had been working in Belarus since 2006 “with print, online and radio outlets,” to “improve the quality of their coverage,” and “increase their understanding of the EU and EU member states.” As part of its youth audience offering in the country, the organization was said to have founded Warsaw-based Euroradio, along with online outlet 34mag.

IREX is closely connected with the NED, and created Euroradio in 2006 with funding from the U.S. Agency for International Development (USAID), another entity that has frequently been used to insidiously undermine governments in Washington’s crosshairs. Just like the FCDO, USAID—now under the direction of war hawk Samantha Power—operates a multi-faceted program targeted at Russia’s “near abroad,” Countering Malign Kremlin Influence, “in alignment with U.S. national security strategy.”

A 2015 report on backing provided by IREX to “independent” media across Eastern Europe under the terms of its “cooperative agreement” with USAID details Euroradio’s exponential rise following its launch. Within four years, it was also receiving sizable funding from the European Union and numerous foreign governments, and running elaborate promotional multimedia campaigns.

By 2008, it was sponsoring 300 events in the region annually, receiving “significant free exposure” by “placing its banners at music and cultural events,” including the annual Right to be Free concert in Lviv, Ukraine. Bands from Belarus, Ukraine, and elsewhere played to a 10,000-strong crowd, “with many bused in from Belarus.”

During the 2010 election, it broadcast live footage of protests following the vote via the web, Skype, and various instant messaging platforms, “interviewed leading opposition candidates, reported on the arrests of protesters, reported from the election commission, and provided reports from six regions through regional stringers,” tailoring its “content and marketing efforts” specifically for 17-35-year-olds.

These activities among others cemented Euroradio as Belarus’s “leading external radio broadcaster” and, come 2012, its “potential audience for terrestrial broadcasts” was two million, more than one-fifth of the country’s population, the website receiving hundreds of thousands of visitors monthly.

Throughout 2020 and beyond, Euroradio almost endlessly published footage of violent crackdowns on protesters in Minsk, which in turn was routinely aired by the mainstream media. The BBC went to the extent of issuing an open call for activists on the ground to submit pictures and videos for use in its coverage, which Euroradio enthusiastically amplified.

Much of the content featured in Western news reporting on the unrest was created by individuals and organizations secretly in receipt of funding and training from Open Information Partnership (OIP), the “flagship” strand of the FCDO’s multi-pronged propaganda assault on Russia. OIP maintains a network of 44 partners across Central and Eastern Europe, including “journalists, charities, think tanks, academics, NGOs, activists, and factcheckers.”

Internal Whitehall documents reveal one of its primary objectives is influencing “elections taking place in countries of particular interest” to the FCDO. It achieves this disruption by helping organizations and individuals produce slick propaganda masquerading as independent citizen journalism, which is then amplified globally via its network.

In Ukraine for example, OIP worked with a dozen online “influencers” to “counter Kremlin-backed messaging through innovative editorial strategies, audience segmentation, and production models that reflected the complex and sensitive political environment,” allowing them to “reach wider audiences with compelling content that received over four million views.”

Similarly, in Russia and Central Asia, OIP established a network of YouTubers, helping them create videos “promoting media integrity and democratic values.” Participants were taught to “make and receive international payments without being registered as external sources of funding” and “develop editorial strategies to deliver key messages,” while the consortium minimized their “risk of prosecution” and managed “project communications” to ensure the existence of the network, and OIP’s role, were kept “confidential.”

Belarus, along with Moldova and Ukraine, is referred to in the leaked files as “the most vital space in the entire [OIP] network,” and a “high-impact priority” country for London. This suggests its 2020 election was very much “of interest”—and the shock results of Moldova’s November 2020 presidential vote suggest OIP’s informational influence can be decisive.

In Moldavia, that election pitted upstart pro-Western Maia Sandu against incumbent pro-Russian leader Igor Dodon, with the former emerging victorious in a win widely acknowledged by the Western media to be surprising. Two Moldovan organizations, the Association of Independent Press and Newsmaker, are fellow OIP network members, and could well have served as conduits for FCDO-funded, pro-Sandu, anti-Dodon material. Maia Sandu speaks to reporters during election. Slovakian OIP member MEMO 98, coincidentally also funded by NED, published an extensive study of the election campaign, attributing Sandu’s upset to her social media Nous.

MEMO 98 similarly kept a close eye on the Belarus protests, publishing several analyses of media reporting and social media activity related to the strife, in the process drawing particular attention to the output of none other than Belsat, praising its “extensive coverage of protests and related intimidation of activists.”

An American father-son duo ­accused of orchestrating former Nissan chief Carlos Ghosn’s audacious escape from Japan admitted their role on Monday as they made their first appearance before a Tokyo court.

Former special forces operative Michael Taylor, 60, and his 28-year-old son Peter,now in trial in Japan for orchestrating former Nissan chief Carlos Ghosn’s audacious escape, who is currently an international fugitive living in Lebanon,smuggled in a music equipment case received 144 million yen ($1.3 million) spent on preparations for the escape including the costs of chartering a private jet 

An American father-son duo ­accused of orchestrating former Nissan chief Carlos Ghosn’s audacious escape from Japan admitted their role on Monday as they made their first appearance before a Tokyo court.

Former special forces operative Michael Taylor, 60, and his 28-year-old son Peter were ­extradited by US authorities over claims they smuggled Ghosn out of Japan in a music equipment case as he awaited trial.

At the Tokyo district court on Monday, the pair said they did not contest the facts laid out by prosecutors in an indictment, effectively conceding their role in the saga.

The pair face up to three years in prison if convicted of helping Ghosn, who is currently an international fugitive living in Lebanon, which has no extradition treaty with Japan.

Ghosn was out on bail while awaiting trial on four counts of financial misconduct, which he denies, when he managed to slip past authorities onto a private jet, transit in Turkey and land in Lebanon.

The escape was hugely embarrassing for Japanese authorities, who termed it « one of the most brazen and well-­orchestrated escape acts in ­recent history. »

The Taylors, along with a Lebanese national still at large, are suspected of orchestrating the December 2019 escape – including putting Ghosn inside an audio equipment case to get him onto the private jet.

The pair fought their extradition to Tokyo, claiming they could face torture-like conditions, and have not commented on their case since arriving in early March.

Tokyo’s Deputy Chief Prosecutor Hiroshi Yamamoto has declined to comment on their arraignment, but local media said both men have admitted wrongdoing during questioning.

Public broadcaster NHK has said Peter received 144 million yen ($1.3 million) from the Ghosns for their help. The Asahi Shimbun daily said the pair spent most of the money on preparations for the escape, including the costs of chartering a private jet,

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COMMENT FABRIQUE-T-ON UN SONDAGE D’OPINION ?

COMMENT FABRIQUE-T-ON UN SONDAGE D’OPINION ?

A quelques jours de l’élection européenne en  France(des élections européennes dans les autres pays membres de l’Union Européenne), les Français sont abreuvés, matin, midi et soir, par des sondages d’opinion à répétition plaçant en tête les deux têtes du désormais parti unique lépénie-Macronie, suivis par d’autres partis signalés pour la forme avec quelques commentaires en marge notamment en ce qui concerne Jean Luc Mélenchon et son mouvement, la « France Insoumise » pris pour cible par les médias de propagande qui mènent comme lors de l’élection présidentielle de 2017, contre cette formation politique, depuis des mois, une intense guerre psychologique et une sub propagande visant à détourner les électeurs indécis poussés inéluctablement vers le « vote utile », c’est-à-dire vers les deux listes favorites macrono-lépénistes. On peut débusquer deux principaux instruments de la sub propagande menée contre le mouvement mélénchoniste qui sont d’abord les chiffres et la position de la France Insoumise dans les enquêtes d’opinion plaçant la liste conduite par Aubry en 4ème position derrière celles du RN, LREM et LR et ensuite des pseudo-analyses qui sont de la propagande déguisée « expliquant » le pourquoi de cette « dégringolade » de 20% de l’élection présidentielle de 2017 à 8 ou 9% aux européennes comme par exemple la personnalité de Mélenchon qui « gueule » comme George Marchais ou la posture « ambiguë » de ce mouvement vis-à-vis de l’Europe.

Les sondages d’opinion qui sont produits aujourd’hui en quantités industrielles ont une histoire assez particulière et leur aspect trompeur réside actuellement réside dans les chiffres qu’ils produisent comme s’ils étaient de la science infuse et contre lesquels tout le monde doit prosterner parce qu’ils « reflètent » selon la formule consacrée «l’instant t de l’opinion publique » Contrairement aux idées reçues, les sondages d’opinion sont nés non pas pour mesurer l’instant t de l’opinion avant chaque échéance électorale mais avec la naissance de la grande industrie aux États-Unis durant les deux décennies du XX siècle et surtout durant la période de la grande Dépression pour écouler leurs marchandises grâce à la publicité commerciale dont le pionnier fut le neveu de Sigmund Freud, Edwards Berneys, l’auteur du célèbre classique « Propaganda », avec ce sous-titre qui parle de lui-même « Comment manipuler l’opinion en démocratie », livre publié en 1928. Au début de sa carrière, Berneys travailla pour l’industrie agroalimentaire qui fut le premier secteur d’activité à faire de la publicité pour éculer ses produits et pour ce faire, des sondages d’opinion étaient régulièrement été réalisés pour à la fois cerner les attentes du futur consommateur et adapter les produits industriels en fonction de ses préférences. Toujours aux États Unis, George Gallup n’a fait que transposer la méthode des sondages d’opinion du secteur du commerce et de l’industrie dans le domaine politique en fondant en 1935 l’American Institute of Public Opinion. Aujourd’hui, les instituts des sondages d’opinion sont contrôlés par des groupes privés qui profitent de chaque échéance électorale à la fois pour propagander eux-mêmes, produire la matière pour les médias dominants de propagande et pour les Etats mais surtout faire d’énormes profits.

Pour soi-disant mesurer l’état de l’opinion à un instant t, les instituts des sondages mettent en œuvre un instrument d’investigation combinant des questionnaires et des entretiens utilisés dans les enquêtes d’attitude. Les instituts des sondages travaillent main dans la main avec les médias de propagande, les partis politiques et les appareils d’Etat de propagande qui diligentent régulièrement des enquêtes pour connaître l’état de l’opinion et pour élaborer les thèmes de propagande destinés à manipuler le psychisme des masses. L’exemple type qui illustre le caractère manipulateur des sondages d’opinion est la technique du questionnaire : il faut des questions courtes, les thèmes ne sont jamais choisis au hasard ; ils sont suggérés par des faits réels, notamment les faits divers qui sont de nature à remuer les bas fonds des masses et c’est en exploitant à fond l’émotion collective que les propagandistes parviennent à leur fin. Le thème qui a fait le chou gras des propagandistes et des médias de propagande était et reste celui de l’insécurité qui a été le puissant vecteur dans l’ascension de Le Pen et du Front national dans les années 1980-1990 avec pour résultat Jean Marie Le Pen au deuxième tour de l’élection présidentielle de 2002 et l’élection de Chirac avec un score digne des républiques bananière, 82% du suffrage exprimé(sur la manipulation des thèmes de l’immigration et de l’insécurité, voir les travaux du sociologue Laurent Mucchielli, le scandale des tournantes, la découverte 2005)

Pour montrer que leur « science » est une « science exacte », les sondeurs recourent à leur fameux « échantillon représentatif ». en réalité, dans les techniques des sondages, ce qui est déterminant, ce n’est pas l’ « échantillon représentatif » en faisant croire que 1000 ou 2000 sondés représentent l’état de l’opinion à un instant t. Puisque le diable est dans les détails, c’est le questionnaire qui est l’instrument par excellence des sondés par les sondeurs par le biais de ce que l’on appelle le questionnaire fermé » où les sondés sont « coincés » et ils n’ont aucun choix dans les réponses. Il n’est pas besoin d’être un grand savant pour deviner que la réponse est dans la question et qui choisit les questions, ce sont les instituts des sondages et c’est en choisissant les thèmes des questions que ces derniers cherchent non pas à connaître l’état de l’opinion à un instant t mais à la manipuler en vue d’une action future, par exemple voter pour tel candidat et tel parti à l’exclusion de tel autre candidat et tel autre parti.

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COMMENT LES SONDAGES D’OPINION MANIPULENT-ILS LE CORPS ÉLECTORAL?

COMMENT LES SONDAGES D’OPINION MANIPULENT-ILS LE CORPS ÉLECTORAL?

En deux décennies, le nombre des sondages a doublé. Chaque année la presse et les médias audio visuels en publient environ un millier avec une pointe durant les périodes précédant chaque échéance électorale. Ce sont les sondages politiques qui prolifèrent en ce moment à l’approche des élections européennes qui vont avoir lieu du 23 au 26 mai prochain entraînant une montée en puissance de la périodicité des sondages d’opinion. La question qui se pose consiste à savoir si comme le prétendent les sondeurs, les sondages sont destinés à mesurer l’ »état d’esprit » de l’opinion à un instant t ou plutôt il y a plutôt derrière l’inflation des sondages d’opinion une opération de manipulation du corps électorale pour voter pour tel candidat ou tel parti au détriment d’autres candidats et d’autres partis.

A l’origine le sondage d’opinion était utilisé dans le domaine du commerce et de l’industrie pour sonder plus précisément les préférences des consommateurs et Edward Berney fut un pionnier dans le marketing commercial dont les techniques ont été exposés magistralement dans son livre publié en 1928 « Propaganda » avec ce sous-titre ô combien évocateur sur la manière de fonctionnement des « démocraties » (Commetn manipuler l’opinion en démocratie) Mais George Gallup a vite compris l’intérêt des sondages d’opinion dans le domaine politique notamment pour les campagnes électorales américaines.  Si Gallup a transposé avec succès les techniques des sondages des domaines du commerce et de l’industrie au domaine de la politique, c’est parce que les techniques mises en œuvre visent une même finalité, celle de mieux comprendre le psychisme humain pour le manipuler à bon escient

Au-delà des chiffres et des prédictions des sondages d’opinion réside une opération de manipulation du ou des publics auxquels les sondages d’opinion sont destinés. Les techniques de vente des produits du commerce et de l’industrie ne sont guère différentes de celles de la promotion des hommes et des partis politiques. Dans les deux cas, il faudra recourir au principe de la publicité qui exerce un pouvoir totalitaire dans les sociétés industrielles et qui conditionne les comportements à la fois des consommateurs et des électeurs. La promotion d’une savonnette ou d’une lessive est celle d’un homme ou d’un parti politique dans la mesure où dans les deux cas, la publicité s’appuie sur la technique de la répétition pour créer selon le principe pavlovien des réflexes conditionnés d’une part et la fabrication d’une image ou d’une marque de fabrique qui colle au produit ou à l’homme ou le parti politique à promouvoir d’autre part.

Les sondages d’opinion comme la publicité commerciale visent un même objectif : obliger le client ou l’électeur à s’intéresser à tel produit et tel homme ou parti politique en négligeant tous les autres produits et les autres hommes et partis politiques. Le rôle de la publicité commercial comme les sondages d’opinion consiste donc à décider les indécis à choisir dans la jungle des produits, des marchandises, des hommes et des partis politiques, tel produit, telle marchandise, tel homme ou parti politique à l’exclusion des autres. En réalité, les sondages d’opinion sont avant tout une opération de manipulation du psychisme du corps électoral plus précisément, cette partie importante de l’électorat qui décide de l’issue de chaque élection, les indécis qui ne sauraient être réduits ni aux indifférents ni aux a-politiques.

L’élection présidentielle de 2017 et aujourd’hui les élections européennes sont deux cas d’espèce montrant que les sondages d’opinion loin d’être à des simples instruments de mesure de l’opinion à un instant t sont au fond et avant tout une technique de manipulation psychique destinée à faire décider les indécis à voter pour tel candidat ou parti politique et pas aux autres candidats et partis politiques en recourant des mois durant à un matraquage systématique pour promouvoir le duo « infernal », chacun devant l’assurance-vie de l’autre : La lépénie et la macronie.

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COMMENT LES MÉDIAS DE PROPAGANDE MANIPULENT LES MASSES POUR LE « GRAND BONHEUR » DES POPULISTES D’EXTRÊME DROITE : LE PEN ET LA MACRONIE

COMMENT LES MÉDIAS DE PROPAGANDE MANIPULENT LES MASSES POUR LE « GRAND BONHEUR » DES POPULISTES EXTRÊME DROITE : LE PEN ET LA MACRONIE

 

Rebelotte ! Nous revoilà coucou Le Pen et Jupiter, désormais votre couple inséparable avant chaque échéance électorale. Les marionnettistes, les riches, les nantis et le grand capital, détiennent entre leurs mains leurs deux pantins, les deux « bijoux en or », Le Pen et Jupiter et il y a tout lieu de penser qu’ils ne sont pas prêts à les laisser filer de sitôt tant que la « Mission accomplished » (mission accomplie) tant qu’ils n’auraient pas fini le « job », c’est-à-dire démanteler les acquis sociaux(retraites, assurance-chômage, fonction publique, fin des 35 heures), en clair, ancrer définitivement le Thtahchéro-Reaganisme en France avec 30 ans de retard  Les derniers sondages plaçant les deux listes de Le Pen et de la Macronie en tête visent comme, tous les sondages bidonnés avant l’élection présidentielle de 2017, à manipuler le psychisme des masses dans la perspective des prochaines élections européennes du 26 mai prochain, pour envoyer au futur parlement, n’en déplaise aux médias de propagande, les deux courants du populisme d’extrême droite qui sont la macronie et la Lépénie.

Pour brouiller les esprits et manipuler le psychisme humain, les médias de propagande recourent à l’art de l’amalgame et la confusion en créant une association d’idées de type pavlovien en mettent dans le même « panier » les « deux extrêmes », les « populistes de droite et de gauche », le parti lépéniste et la France Insoumise. Cette technique de l’amalgame et de la confusion vise à confondre des courants et des groupes politiques et des personnages sépare en réalité. L’exemple le plus connu est celui de la propagande anticommuniste comparant Staline à Hitler pour éviter de parler de l’aide apportée par ce dernier et son comparse italien, Mussolini au général Franco pour noyer dans le sang les Républicains espagnols dans la guerre sanguinaire de 1936 à 1939. Restons dans l’Espagne d’aujourd’hui qui fournit un exemple pertinent pour savoir de quel côté se trouve le populisme qui est à vrai dire un populisme de droite et d’extrême droite avec l’alliance du parti d’extrême droite VOX avec les deux partis de droite, le Parti Populaire et Ciudadanos qui gouvernement actuellement l’Andalousie. D’ailleurs, le parti socialiste espagnol, sorti vainqueur des élections législatives du 28 avril a recouru à la stratégie de la peur pour détourner une partie de l’électorat espagnol à son profit en utilisant le slogan » ils vont gouverner ensemble » c’est une alliance des partis de droite et d’extrême droite(VOX, PP, Ciudadanos)

Comme en Espagne, les « extrêmes » dont parlent les médias de propagande sont représentés non pas par Le parti Lépéniste et la France Insoumise mais le Rassemblement National(RN) et La République en Marche(LREM) Ces deux partis sont au fond réunis par les mêmes affinités idéologiques, Nathalie Loiseau, tête de liste de la macronie aux européenne est une ancienne du mouvement d’extrême droite GUD. Les politiques du parti lépéniste et de la macronie sont identiques et visent le même objectif, le démantèlement des acquis sociaux acquis de haute lutte durant une siècle de combat pour els arracher au capital et aux capitalistes. Un dernier indice de l’alliance objective entre la Lépénie et la macronie, c’est le déploiement de l’artillerie lourde médiatique pour promouvoir ces deux partis en manipulant les Français par des sondages bidonnés commandés par des radios, des télé et des journaux publics et privés, à des instituts de sondages contrôlés par le Medef(Laurence Parisot, ancien président du MEDEF, actionnaire majoritaire de l’Ifop°, les groupe Bolloré et Pinault etc

Les derniers sondages plaçant Le Pen et la macronie en tête des élections européennes ne sont autre chose qu’un procédé de manipulation des électeurs français pour les pousser à leur insu pour voter pour les deux partis. Pour mieux comprendre en quoi consiste cette manipulation de l’électorat français, il convient de rappeler que la propagande ne s’adresse pas essentiellement à ceux qui en sont déjà ses victimes, aux déjà convaincus mais aux INDÉCIS. Il faut aussi préciser que la masse des indécis n’est pas celle des indifférents, de ceux qu’on appelle les « a-politiques » dont le pourcentage est estimé à 10%. Les indécis sont ceux qui sont des individus bien intégrés dans le corps social mais ils sont incapables de prendre de décisions sur les problèmes qui leur apparaissent urgents. Ce sont des électeurs « ne puissance » d’opinion et d’attitude ; C’est là qu’intervient le rôle de la propagande pour les contrôler et les conduire à décider le jour du voté plutôt pour tel candidat et pas pour tel autre. Comme les têtes des gondoles dans les supermarchés où les clients achètent plutôt les produits à leurs regards, les indécis « piégés » par la propagande ambiante vont choisir plutôt les candidats et les partis politiques placés en tête des sondages en votant plutôt pour ceux qui ont le plus de chance de gagner. C’est en effet grâce à cette technique psychologique désormais dûment éprouvée et utilisée par les instituts de sondages pour influencer les indécis en créant des têtes de gondoles que Le Pen père et fille parviennent au deuxième tour des deux élections présidentielles, que Chirac a gagné grâce à Le Pen père l’élection présidentielle de 2002 avec 82 %, score digne des républiques bananières et que Jupiter a gagné grâce à Le Pen fille, l’élection présidentielle de 2017 avec 66%, score irréaliste pour un personnage n’ayant ni parti politique ni connaissance même de la sociologie électorale du pays.

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